Voici une petite présentation d'un livre que j'ai en ma possession depuis quelques temps:
Ce livre, écrit par Gill & Alan Bridgewater est destiné à ceux qui rêvent de s'installer un jour à la campagne, un guide plein de charme et bourré de conseils sur toutes les facettes de cet art de vivre à la fois proche de la nature et auto-suffisant.
Here you can find a picture of the English version:
Ce livre est tout simplement génial ! C'est un véritable plaisir de le lire et le relire à nouveau.Il peut être consulté quand une information se fait sentir, quand on a besoin d'une idée précise pour le jardin, une recette voir même un conseil technique de ré-aménagement de maison ! Du tout bon et de surcroit ce livre est vraiment beau.
Bref, si vous aimez lire et que pour vous la curiosité est tout sauf un défaut, alors foncez car à moins de 20€00, c'est un bon achat.
Ce livre, écrit par Gill & Alan Bridgewater est destiné à ceux qui rêvent de s'installer un jour à la campagne, un guide plein de charme et bourré de conseils sur toutes les facettes de cet art de vivre à la fois proche de la nature et auto-suffisant.
Here you can find a picture of the English version:
Ce livre est tout simplement génial ! C'est un véritable plaisir de le lire et le relire à nouveau.Il peut être consulté quand une information se fait sentir, quand on a besoin d'une idée précise pour le jardin, une recette voir même un conseil technique de ré-aménagement de maison ! Du tout bon et de surcroit ce livre est vraiment beau.
Bref, si vous aimez lire et que pour vous la curiosité est tout sauf un défaut, alors foncez car à moins de 20€00, c'est un bon achat.
la typo du livre en anglais est typique. Marrant comment l'esprit français, en l'occurrence Larousse, la transforme. On retrouve ça dans la façon de traiter un paysage: au cordeau en France ou d'une sauvagerie (étudiée) dans un jardin à l'anglaise.
RépondreSupprimerLes anglais savent nous pondre des bouquins pédagogiques superbes sur la nature.
Merci pour le lien.
Bien le fond d'écran en planches. On se croirait chez Thoreau.